CARACTÉRISTIQUES DÉTAILLÉES
Lame |
Acier T10 à motif Hamon sinueux. Confection manuelle par martelage. |
Garde (Tsuba 鍔) | Cuivre finement gravé, rehaussé d’or et d’argent avec des designs végétaux. |
Fourreau (Saya 鞘) |
Bois verni de couleur verte avec Sageo tressé noir. |
Manche (Tsuka 柄) |
Galuchat véritable de teinte claire. Décorations de Menukis en métal cuivré Chevilles de sécurité (Mekugi) en bambou au nombre de deux |
MESURES
Longueur totale |
103 cm |
Dimension de la lame |
72 cm |
Longueur du manche | 27 cm |
Largeur de la lame | 3.2 cm |
Épaisseur de la lame | 0.7 cm |
Poids global | 1.2 kg, Fourreau inclus |
Lame (刀身) : Façonnée en acier T10 fiable, la lame affiche un Hamon élégamment courbe, attestant du métier de l’artisan forgeron et apportant un contraste visuel distinct avec l’éclat métallique. La solidité procurée par l’acier carbone T10 assure un tranchant durable et une robustesse accrue. Grâce à la technique de forge manuelle, chaque sabre se voit doter d’une identité unique, devenant ainsi une œuvre d’art singulière.
Garde (Tsuba 鍔) : Le Tsuba est minutieusement confectionné en cuivre, incrusté d’ornements en or et argent, arborant des motifs inspirés de la nature. Ceci permet non seulement d’offrir une protection mais aussi d’ajuster l’équilibre de l’épée, en facilitant son maniement. Les finesses des décorations végétales captent l’esprit ancestral du katana, lui donnant une allure dynamique et évolutive.
Fourreau (Saya 鞘) : Revêtu d’un laquage vert, le fourreau en bois (Saya) évoque la dimension naturelle et est accompagné d’un Sageo de couleur noire qui crée un contraste intéressant. Son traitement laqué ne vient pas seulement embellir son esthétique, mais agit aussi comme un bouclier protecteur contre divers agents externes, proposant ainsi une meilleure pérennité.
Manche (Tsuka 柄) : Le manche habillé de galuchat blanc authentique assure une prise ferme, indispensable pour exécuter des mouvements fins et précis en cours d’utilisation. La surface caractéristique du galuchat, rehaussée par le tsukamaki (l’art de lacer le manche), offre une expérience sensorielle qui fortifie le lien entre le pratiquant et son katana.